Match retour sur le terrain de la première équipe citée.
Eurocoupe féminine
Conférence 1 : Groupe A : Spartak Moscou (RUS), Bydgoszcz (POL), Gorzow (POL), Södertälje (SWE) Groupe B : Galatasaray (TUR), MBA Moscou (RUS), Torun (POL), Vainqueur ECWQ2 Groupe C : Perdant ELWQ2, Besiktas (TUR), Minsk (BLR), Inventa Kursk (RUS) Groupe D : Mersin (TUR), Krasnoyarsk (RUS), Sepsci (ROU), Vainqueur ECWQ1 Groupe E : Perdant ELWQ1, Umea (SWE), Botas (TUR), Beroe (BUL)
Conférence 2 : Groupe F : Girona (ESP), Györ (HUN), Uniao Sportiva (POR), Vainqueur ECWQ4 Groupe G : Perdant ELWQ4, Miskolc (HUN), Brno (CZE), Vainqueur ECWQ3 Groupe H : Perdant ELWQ3, Nyburk (CZE), Ruzomberok (SVK), Celje (SLO) Groupe I : Lattes Montpellier, Cegled (HUN), Keltern (GER), Lyon Groupe J : Basket Landes, Fribourg (SUI), Tarbes, Wavre Ste-Catherine (BEL)
12 équipes sont déjà engagées pour la saison régulière : Ekaterinbourg (RUS), Fenerbhace (TUR), Bourges, Sopron (HUN), Schio (ITA), Prague (CZE), Polkowkice (POL), Salamanque (ESP), Braine (BEL), Dynamo Kursk (RUS), Hatay (TUR), Charleville-Mézières.
8 équipes joueront les qualifications (match aller/retour), elles ont été placées dans deux conférences géographiques. Conférence 1 : Orenburg (RUS), Wisla Cracovie (POL), Olympiacos (GRE), Cukurova (TUR) Conférence 2 : Villeneuve d'Ascq, Venise (ITA), Riga (LAT), Szekszard (HUN)
Les équipes en italique sont protégées et joueront leur match retour à domicile.
Eurocoupe féminine
40 équipes se sont inscrites en Eurocoupe auxquelles il faudra ajouter les 4 formations qui ne se qualifieront pas pour l'Euroligue à l'issue des qualifications. La phase de saison régulière se jouera à 40 (10 groupes de 4).
36 équipes ont déjà leur place d'assurée. Elles ont été placées dans deux conférences géographiques :
Conférence 1 : Krasnoyarsk (RUS), MBA Moscou (RUS), Spartak Moscou (RUS), Inventa Kursk (RUS), Botas (TUR), Besiktas (TUR), Mersin (TUR), Galatasaray (TUR), Bydgoszcz (POL), Torun (POL), Gorzow (POL), A3 Basket (SWE), Södertälje (SWE), Sepsci (ROU), Beroe (BUL), Minsk (BLR) + deux perdants des qualifications Euroligue (conférence 1)
Ekaterinbourg (RUS) bat Dynamo Kursk (RUS) 84-77 La (longue) série de Kursk a pris fin en demi-finale. Après 34 victoires conscutives en Euroligue, Héléna Ciak et ses copines ont rendu les armes face à Ekaterinbourg. L'intérieure tricolore a compilé 6 points et 11 rebonds. Porté par le trio Moore (28pts, 6rbds, 5 passes) - Meesseman (19pts, 8rbds) - Griner (19pts, 7rbds), Ekat a fait la différence dans le 3è QT.
Sopron (HUN) bat Yakin Dogu (TUR) 68-65 Invité surprise du Final Four, Sopron a créé la sensation en éliminant l'armada turque d'une Sandrine Gruda plutôt discrète (3pts, 8rbds). Angela Salvadores (16pts) et Yvonne Turner (19pts) ont tenu l'équipe hongroise sur leurs épaules avant que la Serbe Jelena Milovanovic ne crucifie Yakin Dogu au buzzer.
Match pour la 3è place Dynamo Kursk bat Yakin Dogu 87-82 Dans un match pour la troisième place qui aurait pu être une finale, Kursk a bien réagi à l'image de Sonja Petrovic (24pts). Héléna Ciak (2pts, 1rbd) n'a pas eu le même impact qu'en demi-finale. Encore sonné par le buzzer beater de l'avant-veille, Yakin Dogu et Sandrine Gruda (11pts, 6rbds) ont quitté la Hongrie sur une deuxième défaite.
Finale Ekaterinbourg bat Sopron 72-53 Face à une équipe russe bien plus expérimentée, Sopron n'a pas été en mesure de réitérer son exploit de la demi-finale. Comme face à Kursk, Ekaterinbourg a pu compter sur Emma Meesseman (19pts, 9rbds, 5 passes), Brittney Griner (16pts, 9rbds) et Maya Moore (17pts, 7 passes). La géante belge, passée par Villeneuve d'Ascq, a été élue MVP du Final Four.
Les clubs français et les coupes d’Europe, c’est une histoire d’amour où l’on retrouve en fil rouge les Tango de Bourges.
Après le Clermont Université Club, cinq fois finaliste de la Coupe des Clubs Champions (C1) dans les années 70, les clubs français ont connu une traversée du désert avant de s’exposer de nouveau à la lumière à partir des années 90. Challes-les-Eaux entra dans l’histoire en 1993 en participant au Final Four de ce qui deviendra l’Euroligue, mais c’est Bourges qui fut le véritable club pionnier en remportant tout d’abord la Coupe Ronchetti (C2) puis trois fois l’Euroligue (1997,1998 et 2001). Lorsque le CJM Bourges gagna sa première coupe d’Europe, c’était déjà un club de pointe avec 5MF de budget pour l’équipe pro, 125 entreprises partenaires, 2 400 spectateurs en moyenne, huit joueuses et deux entraîneurs pros et une secrétaire à temps partiel. Le président Pierre Fosset avait réuni quelques étoiles dont le coach russe Vadim Kapranov, sa compatriote Elena Koudashova, la Slovaque Anna Kotocova et les Françaises Yannick Souvré, Odile Santaniello, Amy Cissé, Martine Campi bientôt rejointes par Cathy Melain et Isabelle Fijalkowski. C’est avec un noyau dur d’internationales françaises, y compris Anna Kotocova qui se verra délivrer plus tard le passeport national, que Bourges passa la vitesse supérieure et devient trois fois la meilleure équipe d’Europe. L’édition de 1998 fut particulièrement mémorable puisque le Final Four se tint au Prado de Bourges. En finale, les Tango repoussèrent le Getafe Madrid 76-64 avec 21 points de Odile Santaniello et autant de la Tchèque Eva Nemcova. « Oui, on est très fortes psychologiquement mais on ne fait rien de particulier pour ça, » confia Yannick Souvré devenue le symbole du basket féminin français qui gagne. « C’est le mystère Kapranov. Il dit peu de choses mais quand il les dit, ça prend une telle ampleur… De nature une femme n’a pas confiance en elle, j’en sais quelque chose. Mais Vadim m’a toujours fait croire que j’étais meilleure que la fille d’en face. »
Deux clubs français en finale de l’Euroligue
2001 fut une année magique pour le basket féminin français. Les « Filles en Or » furent sacrées championnes d’Europe au Mans et, quelques semaines auparavant, deux clubs français s’étaient retrouvés en finale de l’Euroligue, à Messine, en Sicile. Un exploit unique. Cela devait marquer le passage du témoin entre Bourges et Valenciennes. Seulement, ce sont les Berruyères qui réalisèrent le triplé après une victoire sur le fil sur un layup de Cathy Melain, 73-71. La seule défaite de l’USVO de la saison. Yannick Souvré remporta ainsi un nouveau trophée et une invitation à « Tout le monde en parle » de Thierry Ardisson, preuve que les succès des basketteuses ne passaient pas inaperçus. Une ère se terminait, une autre s’ouvrait, celle de Valenciennes. C’est à Liévin, en terre nordiste et devant ses supporters inconditionnels, que l’USVO remporta la première de ses deux Euroligue avec une véritable Dream Team : Ann Wauters, Allison Feaster, Isabelle Fijalkowski, Audrey Sauret, Edwige Lawson, Sandra Le Dréan, Nathalie Lesdema, qui était aussi selon son coach Laurent Buffard « un groupe de filles formidables ». Le banc de l’USVO était si riche que l’on y trouvait tout au bout une véritable légende du basket mondial, Teresa Edwards, cinq fois médaillée olympique (dont quatre fois en or) et à 37 ans au soir de sa carrière. « Il y a eu un respect mutuel. Ces filles-là sont douées, elles jouaient bien avant que j’arrive et je n’étais pas là pour leur rendre la tâche difficile ni pour leur enseigner quoique ce soit parce qu’elles avaient déjà bien travaillé », commenta l’étoile américaine avec beaucoup d’humilité.
Après Valenciennes, Ann Wauters se met au service de Villeneuve d’Ascq
La C2, que l’on appela Coupe Ronchetti puis Eurocoupe à partir de 2002, a également plusieurs fois souri aux clubs français. Après Bourges en 1995, Tarbes la remporta l’année suivante, puis ce fut au tour de Aix-en-Provence en 2003, lequel tomba en finale trois ans plus tard comme Arras en 2011. Le passé récent nous a offert de nouvelles belles émotions. C’est face au club belge des Castors de Braine et dans l’atmosphère de kermesse de Charleroi que Villeneuve d’Ascq remporta cette Eurocoupe en 2015. La présence de Ann Wauters au centre de son dispositif fut déterminante. La légende belge apporta sa taille, sa technique, son expérience et sa sérénité. Le fait d’être huée par ses compatriotes tout au long du match retour ne la troubla pas le moins du monde. Alors que les Villeneuvoises avaient perdu 64-68 dans leur fief, elles balayèrent les Belges au retour, 73-53. Les Guerrières avaient sorti leurs griffes le jour J. « Il y avait trois facteurs : émotion, engagement, stratégie », commenta Frédéric Dussart, coach de l’ESBVA-LM et prof d’EPS à mi-temps. « Pour la stratégie, j’ai proposé des choses qui ont été validées ou modifiées par les filles, un managérat participatif, comme Claude Onesta au hand. Pour l’engagement, on a ressorti des phrases du match aller où les Belges disaient qu’elles avaient gagné sur le fighting spirit, ce qui fait mal d’entendre ça. Pour l’émotion, on a dit qu’à 12 contre 6 000, il fallait garder le visage fermé, zéro émotion. » Villeneuve d’Ascq ne put réaliser le doublé. L’année suivante, les Nordistes furent vaincues en finale par Bourges, les deux clubs étant écartés de la phase finale de l’Euroligue. Quinze ans après Messine, deux clubs français s’étaient retrouvés de nouveau ensemble sur une cime européenne.
Si l'absence de Diandra Tchatchouang a pu peser dans la balance, la maladresse quasi généralisée des Berruyères a été fatale. Ni Marine Johannes (3/13), ni Sarah Michel (3/12), ni KB Sharp (4/12) n'ont réussi à trouver la mire. Seules Valériane Ayayi (11pts) et Ruth Hamblin (12pts, 8rbds) ont su tirer leur épingle du jeu mais avec un retard abyssal à la fin du 1er QT (6-24), la messe était dite. Rageant car sur les 30 minutes suivantes, Bourges n'a plus perdu de terrain. Côté turc, Kayla McBride (20pts, 7 passes), Jentel Lavender (18pts, 9rbds) et Courtney Vandersloot (14pts, 5rbds, 6 passes) ont assuré alors que Sandrine Gruda a frôlé le double-double (8pts, 9rbds).
Ailleurs en Europe, et comme prévu, Kursk et Ekaterinbourg seront au rendez-vous du Final Four. Il y aura donc deux Françaises dans le dernier carré : Héléna Ciak (Kursk) et Sandrine Gruda (Yakin Dogu). Fenerbahce et Sopron joueront dans une semaine une belle décisive en Turquie.
Battu dans sa salle au match aller, Galatasaray a réussi à renverser la vapeur en Espagne. Olivia Epoupa a cumulé 13 points, 5 rebonds et 6 interceptions et s'est fait une belle frayeur suite à un choc accidentel avec Nuria Martinez. La meneuse tricolore, qui avait dans un premier temps été rassurante via les réseaux sociaux, a ensuite indiqué qu'elle allait passer des examens à l'hôpital (arcade et tête).
Girone (ESP) - Galatasaray (TUR) 67-72 Galatasaray qualifié 134-132
Plus de peur que de mal avec cette faute subie ce soir je tiens à vous assurer que je vais bien ! Merci pour vos messages !!! l'essentiel et la victoire plus la qualification@GSBasketbolhttps://t.co/3m02AvP7oM
Face à une équipe de Yakin Dogu présentant autant de talent à tous les postes de jeu, la solution pour les Tango passera par une réponse collective notamment en défense. Elles l'avaient plutôt bien fait au match aller mais après une première mi-temps solide, les partenaires de Valériane Ayayi avaient craqué face à Gruda, Lavender ou encore Vandersloot. Un éclat (26-13 dans le 3è QT) impossible à remonter face à de telles joueuses.
Devant son public, Bourges est capable de renverser des montagnes. Il faudra un Prado bouillant pour que les Berruyères restent au contact, mettent le doute dans les têtes adverses et décrochent une belle tant espérée qui se jouera dans une semaine.
Dans les autres quarts de finale, Ekaterinbourg et Kursk devraient valider leur billet pour le Final Four. Les deux clubs russes joueront à domicile après s'être imposés à l'extérieur à l'aller. Fenerbahce est en ballottage favorable depuis sa victoire à Sopron. Mais le faible écart lors de la première confrontation (+5) donne de l'espoir à la formation hongroise.
L'entraîneur nordiste Fred Dusart l'a dit, il préfère avoir deux points d'avance que 8 ou 10 à gérer. En effet, avec un si petit matelas acquis à l'aller au Palacium (74-72), la marge de manoeuvre est quasi nulle pour l'ESBVA-LM. Autrement dit, il faudra gagner en Turquie jeudi (16h en France). La première équation à résoudre se nomme Courtney Paris. La massive intérieure US de Hatay est sur une autre planète avec 17.2pts et 15.5rbds par match. Solide. Mais attention, le danger peut venir d'autres joueuses et les Ben Abdelkader, Mitchell ou encore Snytsina, bien connues pour être passées par la LFB, sont de redoutables attaquantes.
Demi-finaliste en 2014, vainqueur en 2015 puis finaliste en 2016, les Guerrières comptent bien poursuivre leur aventure dans une compétition qu'elles affectionnent.
Mercredi 7 mars
Girone (ESP) - Galatasaray (TUR) / 20h30 Aller : Girone 65-62
Yakin Dogu (TUR) - Bourges83-67 Pendant 20 minutes (38-37), les Tango ont tenu tête à l'ogre Yakin Dogue en s'appuyant sur Valériane Ayayi (20pts) et Alexia Chartereau (15pts). Passé le repos, la formation stambouliote a décidé d'accélérer la cadence. Derrière Kayla McBride (23pts), c'est tout un collectif qui s'est mis en marche avec Sandrine Gruda (14pts, 12rbds), Courtney Vandersloot (17pts) ou encore Jantel Lavender (14pts, 7rbds). Et dire qu'Ann Wauters n'a pas joué... Celà montre bien que cette équipe turque est taillée pour le titre et qu'il faudra que les Berruyères réalisent deux exploits monumentaux pour accéder au Final 4.
Faire partie du top 8 européen était un objectif fixé par le Président Fosset cette saison. Mission accomplie mais l'appétit venant en mangeant, les joueuses du Cher se verraient bien poursuivre leur belle aventure. Pour celà, il faudra passer l'obstacle Yakin Dogu. Pour sa première saison d'Euroligue, le vainqueur de l'Eurocoupe 2017 a dans ses rangs des stars mondiales : Ann Wauters, Sandrine Gruda, Kayla McBride, Bahar Caglar... Pour un résultat quasi parfait puisque l'équipe turque a terminé à la première place du groupe B (12-2), devant Ekaterinbourg s'il vous plaît.
C'est donc un sacré défi qui attend Marine Johannes et ses partenaires, quatrièmes du groupe A (7v-7d), qui ont su se relever après un début d'exercice raté (5 défaites lors des 6 premiers matches). Valériane Ayayi a sonné le réveil berruyer et ses 19.6 points de moyenne entre le 6 décembre et le 10 janvier ont permis aux Tango de remporter 5 matches consécutifs.
Dans les autres quarts de finale, le Dynamo Kursk d'Héléna Ciak affrontera Schio et son clan bleu-blanc-rouge (Endy Miyem, Isabelle Yacoubou, Pierre Vincent). Invaincu en saison régulière (14-0), le Champion d'Europe 2017 surfe sur une impressionnante série de 32 victoires dans la compétition reine. Toujours présent, Ekaterinbourg (vainqueur en 2013 et 2016) partira favori face à Prague (vainqueur en 2015). Enfin Sopron, que l'on n'attendait pas à ce niveau, jouera sa place au Final 4 contre la formation turque de Fenerbahce.
Les matches à suivre en direct sur www.youtube.com/FIBA Retour le 7 mars, belle éventuelle le 14.
Eurocoupe féminine - 1/4 finales aller
La France ne compte qu'un seul représentant à ce stade, Villeneuve d'Ascq, reversé en Eurocoupe après avoir terminé à la sixième place du groupe A en Euroligue. Les Guerrières auront du pain sur la planche face à l'équipe turque de Hatay (6v-0d en phase régulière) où évoluent quelques vieilles connaissances de LFB (Mitchell, Ben Abdelkader, Snytsina, Mircheva) mais surtout l'Américaine Courtney Paris, véritable bulldozer dans la raquette (16.8pts et 15.7rbds de moyenne).
Dans les autres quarts de finale, l'affrontement entre Orenburg et Salamanque, placés dans le même groupe en Euroligue, s'annonce explosif. Girone, qui jouera le Galatasaray d'Olivia Epoupa et Marina Maljkovic, aura l'avantage de recevoir au match retour. Enfin Mersin, tombeur des Flammes Carolo au tour précédent, devra se méfier de Venise.
Mercredi 28 février Galatasaray (TUR) - Girone (ESP) / 17h30
Programme des 1/4 de finale (28 février, 7 et 14 mars) Kursk (RUS) - Schio (ITA) Ekaterinbourg (RUS) - Prague (CZE) Sopron (HUN) - Fenerbahce (TUR) Yakin Dogu (TUR) - Bourges
Eurocoupe féminine - Top 8 retour
Dans le chaudron turc il y a une semaine, les Flammes ont limité les dégâts et devront l'emporter de plus de 9 points pour passer en quarts. Pas impossible tant les Ardennaises savent se sublimer devant leur public. Il faudra limiter l'impact du 5 majeur (71pts sur 80) et obliger le coach Ozlem Sencan à faire des rotations.
Hatay (TUR) - Szekszard (HUN) 98-65 Aller : Hatay 76-74 Ragusa (ITA) - Girone (ESP) 72-78 Aller : Girone 85-61 Venise (ITA) - Kosice (SVK) 63-73 Aller : Venise 89-68
Jeudi 1er février Charleville-Mézières - Mersin (TUR) / 20h00 Aller : Mersin 80-71
Les qualifiés pour les quarts de finale (28 février et 8 mars) Galatasaray (TUR), Villeneuve d'Ascq, Salamanque (ESP) et Orenburg (RUS) issus de l'Euroligue. Hatay (TUR), Girone (ITA), Venise (ITA), Charleville-Mézières ou Mersin (TUR)
Sopron (HUN) - Bourges / 18h00 Assurées de participer aux quarts de finale, les Tango finiront troisièmes ou quatrièmes du groupe A. Un succès en terre hongroise leur donnerait la place sur le podium. Quoi qu'il arrive, l'adversaire au tour suivant sera d'un gros calibre : Yakin Dogu (TUR) ou Ekaterinbourg (RUS).
Lattes Montpellier - Ekaterinbourg (RUS) / 20h00 Le calvaire européen des Gazelles va prendre fin. Avec une seule victoire en 13 rencontres, le BLMA aura vécu une saison régulière d'Euroligue très difficile. Pour le clap de fin, les protégées de Rachid Meziane accueillent Ekaterinbourg et ses stars (Torrens, Meesseman, Griner...).
Villeneuve d'Ascq - Galatasaray (TUR) / 20h15 L'équation est simple pour les Guerrières : une victoire et elles verront les quarts de finale d'Eurocoupe, une défaite et il faudra attendre les résultats de Polkowice, qui joue à Kursk, et Braine, qui reçoit Prague. En cas d'égalité au classement, l'ESBVA-LM a l'avantage sur les Polonaises (2-0) mais pas sur les Belges (1-1, -6).
Dans le chaudron turc il y a une semaine, les Flammes ont limité les dégâts et devront l'emporter de plus de 9 points pour passer en quarts. Pas impossible tant les Ardennaises savent se sublimer devant leur public. Il faudra limiter l'impact du 5 majeur de Mersin (71pts sur 80) et obliger le coach Ozlem Sencan à faire des rotations.
Mercredi 31 janvier Hatay (TUR) - Szekszard (HUN) Aller : Hatay 76-74 Ragusa (ITA) - Girone (ESP) Aller : Girone 85-61 Venise (ITA) - Kosice (SVK) Aller : Venise 89-68
Jeudi 1er février Charleville-Mézières - Mersin (TUR) / 20h00 Aller : Mersin 80-71
Les quatre qualifiés seront rejoints par quatre équipes issues de l'Euroligue (les 5è et 6è de groupe). Un tirage au sort déterminera les quarts de finale.